A propos

qui suis-je

Qui suis-je ?

Un passé d’enseignante

J’ai toujours été attirée par les métiers d’aide et la psychologie. Bien avant de me lancer dans l’accompagnement au bien-être… Après le bac, je suis entrée en fac de psychologie et y ai fait 3 années d’études, avant finalement de m’orienter vers l’enseignement. Il me semblait que je pourrais dans ce métier apporter une forme d’aide à mes élèves et j’avais l’ambition de devenir une « maitresse » exceptionnelle (j’espère l’avoir été 😄 ). J’ai donc bifurqué en Sciences de l’Education avant de passer le concours de Professeur des Ecoles.

J’ai travaillé avec beaucoup de plaisir et de bonheur(s) pendant plus de 20 ans à l’Education nationale, en tant qu’enseignante, puis directrice d’école et enfin, formatrice. Et puis, j’ai eu le sentiment que quelque chose d’autre m’appelait… Une volonté d’être plus utile pour les autres (et pas uniquement pour les enfants). Je ne réussissais plus totalement à satisfaire cela dans mon métier. Je ne pouvais pas tout révolutionner 😉

Ce qui m’appelait, c’était de nouveau la psychologie, la relation d’aide, quelque chose de plus individuel, plus humain peut-être. Alors, j’ai décidé, dans un premier temps, de me former aux thérapies brèves… Kesaco ?

Les thérapies brèves

Ce sont des thérapies qui ont la particularité de s’orienter vers la solution, le « comment » plus que sur l’origine du problème ou le « pourquoi » (comme la psychanalyse par exemple). De ce fait, on obtient des résultats rapides (d’où le nom…), généralement en moins de 10 séances, là où d’autres thérapies nécessitent plusieurs mois ou années.

Parmi ces psychothérapies, on peut retrouver l’hypnose, la PNL, la sophrologie, la thérapie cognitivo-comportementale (TCC)…

Dans ma palette personnelle, on trouve surtout la sophrologie, l’hypnose (et la « déshypnose » avec la méthode Zéro Mental®, créée et enseignée par Frédéric Vincent).

Toutes ces techniques sont utiles et bénéfiques pour toute personne, quel que soit son âge. C’est pourquoi, je reçois des adultes comme des enfants et adolescents.

Les troubles anxieux

La première crise

En 2014, j’ai fait ma première crise d’angoisse. En pleine nuit, je n’ai rien compris à ce qui m’arrivait. Je ne parvenais pas à trouver le sommeil, j’ai senti mon coeur s’emballer, j’avais des sueurs froides, des douleurs dans le ventre. J’avais peur de faire une crise cardiaque…

Il m’était déjà arrivé d’avoir des vertiges et de faire quelques malaises vagaux depuis mon adolescence. Oui, mais là, je sentais bien qu’il s’agissait d’autre chose. J’ai appelé le Samu… on m’a dit de prendre « un petit cachet » pour me calmer, que ce n’était qu’une crise d’angoisse.

Je n’avais pas de « petit cachet » chez moi. Je me suis sentie abandonnée et désespérée. Après plusieurs heures, j’ai fini par tomber d’épuisement et m’endormir. Le lendemain matin, j’ai pris rendez-vous chez le premier médecin disponible. Après examen, tout allait bien. Il m’a dit qu’en effet, j’avais probablement fait une crise d’angoisse… C’était la première…

Je ne comprenais toujours pas pourquoi ça m’était arrivé. Est-ce que j’avais une maladie mentale (puisqu’on me disait que mon corps allait bien… j’étais peut-être folle, alors…) ? Je me suis « pris la tête » avec tout ça pendant des semaines, je voulais comprendre à tout prix…

Résultat : les crises se sont répétées, elles ont pris plus d’ampleur… j’avais peur de tout, peur de prendre le train, peur de conduire, peur que ça recommence, peur d’avoir peur, PEUR… J’ai perdu du poids, tout devenait compliqué, j’avais le sentiment que mon cerveau avait pris le dessus sur moi à chaque instant de ma vie.

Quand le diagnostic tombe

Finalement, on m’a diagnostiqué un Trouble Anxieux Généralisé (TAG). Autant dire que j’ai immédiatement pensé que « mon cas s’était aggravé »… d’une crise d’angoisse on passait à un trouble généralisé… Mais j’étais bien décidée à ne pas me laisser envahir par tout ça et à m’en sortir.

J’ai travaillé sur moi, j’ai appris à m’écouter, j’ai vu des médecins, des thérapeutes. Petit à petit, j’ai repris le dessus. Il m’arrivait encore de ressentir une petite boule ou plus exactement un pincement dans la région du coeur, mais les crises ont fini par s’atténuer et enfin disparaitre.

Changement de cap !

Depuis, j’ai compris que mon corps m’avait envoyé des signaux, pour que je l’écoute davantage. Il voulait me faire comprendre que quelque chose dans ma vie n’était pas (plus) en accord avec moi-même. J’ai finalement changé de vie, de métier. J’ai continué de me former encore et encore, et aujourd’hui, je vais bien !

J’ai refusé de laisser ma vie aux mains des angoisses… J’ai retrouvé la maitrise de moi et de mes émotions. J’ai tout simplement repris pied. Mon corps a suivi, il s’est également rétabli et a cessé de m’envoyer des symptômes.

Aujourd’hui, à travers mon expérience et mes différentes formations, je sais que je peux vous accompagner dans la libération de vos émotions et de vos blocages, en vous proposant une approche novatrice et pluridisciplinaire

Ainsi, vous retrouverez plus de sérénité et de paix en vous, aussi bien sur le plan physique, que psychique et émotionnel. Vous comprendrez que l’on peut modifier ses pensées pour ne plus se laisser submerger, ce qui vous redonnera confiance en vous. Vous pourrez vous sentir plus léger en laissant vos peurs de côté et retrouverez ainsi plus de joie.

J’ai hâte de vous rencontrer !

Stéphanie

thérapie psychocorporelle

Je ne suis pas médecin, mes consultations ne se substituent pas à un traitement médical ni à un suivi psychologique. Elles peuvent néanmoins venir en complément d’un suivi ou d’un traitement médical.